Seulement
une réaction ? Pourquoi ne suis-je pas surpris ?
C’est
simple : l’auteur aurait dû relire avec plus de sérieux son
article, d’autant plus que je reste persuadé qu’il maîtrise
assez l’anglais.
BYOD,
sigle dans le jargon des professionnels de l’informatique, est
selon l’auteur Bring Your On
Device, avec « On »
signifiant évidemment « sûr » ou « dessus ».
Or,
la réalité est que BYOD est Bring Your OWN
Device, qui se traduirait par « apporter son
propre périphérique [ou sa propre machine] ».
Il en résulte que la sémantique change inéluctablement et,
surtout, radicalement.
Un
tel manque de rigueur est inadmissible à un tel niveau de
compétences : double diplômes [informatique et économie]. Ce
qui m’ennuie est que nous les apprentis geeks,
nous passerions pour des incapables si l’auteur lui-même reste si
relâché dans la formulation de ses idées.
On a bien compris
qu’il s’agit de fautes de frappe. Cette fois on ne me ressortira
pas l’histoire du stagiaire qui me crée du souci pour expliquer
mes fautes de frappe...
Si
je ne parlais pas anglais et que je ne connaissais pas la chose,
jamais je ne l’aurais su, ce qui me mécontente. I’m
sorry ! I regret to inform you it’s true you shouldn’t make such
mistake. A
problem with your trainees, I suppose ?
Peut-être
que je ferai des commentaires sur l’article, demain... On verra...
@Traroth :
Pas
mal, pas mal.
« Il
est évident que la mode du BYOD sera passagère. »
Voulez-vous
bien développer, s’il vous plaît ? J’avoue que ce n’est
pas très évident chez moi.
« Transformer
le réseau d’entreprise en passoire [...]
le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ? »
En
principe, non. Mais, le dirigeant pense souvent à ses profits ‒ou
à la réduction des coûts‒ au détriment de la sécurité,
surtout par les temps qui courent.
Par
ailleurs, dans la même lancée, à votre avis, Traroth, que me
recommandez-vous pour optimiser mon Linux en termes de réseau
d’entreprise (rapport coût-sécurité, par exemple) ?
Peut-être aussi auriez-vous quelque lecture à me conseiller ?
Merci d’avance.