La crise ne concerne en gros qu’une moitié de l’humanité. L’autre continue à croitre à un bon taux moyen de 5%. Pas de crises des ressources donc. Surtout à l’heure où les gaz et huiles de schiste sonnent l’heure d’une révolution énergétique.
Par contre il y a dans notre partie du monde une formidable destruction créative, un bouleversement shumpeterien de toute l’économie, plus ou moins bloqué par les développements des états providence qui ont crus au delà du raisonnable et de manière non durable.