Vous savez, ce n’est pas en additionnant des pommes et des bananes que vous arriverez à avoir votre quota d’ananas.
Vous nous assenez des études et nous montrez quelques tranches en voulant nous faire croire que cela en fera un coulis appréciable.
Dans une tranche d’âge, il y aura toujours des partisans et des opposants déclarés. Mais au moment du choix, ce n’est pas ce critère seul qui poussera l’électeur vers un bulletin ou un autre.
Si on en croit les résultats du 1er tour, les partisans de l’ Euro constituaient près de 70 % de l’électorat (ils ont voté pour les candidats favorables à l’intégration européenne). C’est un chiffre bien plus parlant et plus fiable que votre salade de chiffres.
Malgré les critiques qu’on lui porte, les Français VEULENT l’Euro à une très large majorité. Et ils savent très bien que ce n’est pas Bruxelles qui a mit la baguette à 6 francs, mais bien leur boulanger.