Bonsoir, Antoine.
Lénifiant ? Le mot est assez juste. Quant à Welser-Möst, l’avenir dira s’il s’impose comme le grand chef qu’il aspire à être, à l’image de Simon Rattle à la tête du Philharmonique de Berlin depuis une dizaine d’années. Mais le fait d’être invité par le Philharmonique de Vienne est un gage de qualité. Il est vrai que Welser-Möst possède un avantage sur les autres chefs dans la mesure où il occupe la fonction de directeur musical de l’Opéra de Vienne d’où sont issus la plupart des instrumentistes de la Philharmonie.