Bonjour, Blaise.
Eh oui, cette « culture de masse » nous est vendue à grands coup de matraquages publicitaires. On est là, avec des produits formatés qui ne méritent plus le nom d’oeuvres, au coeur des stratégies marketing visant à doper les profits par le biais d’un consumérisme basé sur la décérébration des individus. C’est pourquoi toutes les initiatives visant à s’opposer à cette dérive de nature industrielle doivent être encouragées.