Cher Nabum,
c’est entendu vous vous êtes empâté et vous n’êtes surement pas le seul, (e) moi même, je ne suis pas sûre d’avoir été épargnée par les ravages de la sédentarité. Bref, il faut combattre cette fausse amie et ses associés, « les bons gueuletons » par les grands moyens.
Haro sur les lipides ! Sus à la grosse fatigue ! Yala !
Au début, lorsque l’on remonte sur son vélo, on se fait l’effet d’une grosse baleine, maladroite, qui se tortille pour loger son fondement sur une toute selle minuscule.
Les pédales sont dures à enfoncer. A chaque tour de roue, on souffle comme un cachalot, puis sur les côtes on râle comme une otarie prise dans un filet. A la fin, on est rouge comme un homard plongé dans l’eau bouillante et pour finir, on exhale des remugles de marée montante !
Voilà du bel exercice, du vrai de vrai qui vous fait monter le thermomètre, même en dessous de 0° !!!