Et c’est vous qui me dites cela ?
Vous n’avez pas répondu à un seul de mes arguments, vous n’avez proposé vous-même aucun argument ou contre-argument aux longues réponses que je vous ai faites, vous vous limitez au registre de l’imprécation et de l’affirmation péremptoire.
Je vous mets au défi de démontrer la moindre « mauvaise foi » ou « malhonnêteté intellectuelle » dans mes propos. Allez-y, j’attends.
Et si vous ne voulez plus répondre, drapé dans votre indignation, fort bien, et bon débarras. Bisou.