La campagne qui s’orchestre, n’est finalement, que le reflet de l’extreme mépris, non pas uniquement du ’drogué’ lui meme mais de ceux qui ont vécu et progressé en couvrant et en vendant du « champion ».
On assiste ainsi a un extraordinaire concours de veuleries, « vous en vouliez, nous on n’a fait que vous en donner... »
Aucune bassesse, aucune courbette n’est suffisante pour excuser le concours de superlatifs qui ont permis a ces « journaleux » d’exister de croitre et multiplier par mensonges, forfaitures interposées.
Finalement de Armstrong, du sport, du public, de l’éthique tout ce petit monde n’en n’a rien a faire, eux et eux seuls comptent qu’elles qu’en soient les conséquences, rien ni personne ne doit remettre en cause ce que leur petite gueule de maquereaux a besoin pour se goinfrer et tant pis pour ceux qui se feront attrapper.