Je serais complètement d’accord avec l’auteur si le constat ne restait pas franco-français.
Le pourrissement est un mal mondial.
Mais je veux bien qu’on se serve comme référence de la 5ème République Française, qui est un peu le modèle des « démocraties » occidentales « représentatives ».
Dans le sens où les systèmes électoraux de ces pays sont basés sur le bi-partisme et le culte de la personnalité.
C’était juste le bémol que je voulais mettre sur l’article : le constat peut être fait pour tous les pays se disant « démocraties représentatives ».