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En réponse à :


jack mandon jack mandon 11 février 2013 12:00

COVADONGA722,

Federico Garcia Lorca est sans doute assimilé à un torero ou un taureau
dans l’esprit des révoltés du bulbe.
Cette poésie souligne répétitivement le caractère tragique de la corrida.
Elle martèle dans le soir, par le verbe et le son, la marque d’une souffrance.
La culture prend la forme d’un carcan et se prolonge au linceul.
La forme est romantique mais aussi ibérique, par la sombre destinée.

Pour le cortex, c’est sans doute à cause de la tonsure, vous pouvez
envisager des implants. Avec la rudesse de l’hiver et la vie monacale
il est inhumain de travailler jusqu’à point d’heure au pupitre.


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