@ L’auteur
Et part vos sarcasmes, que proposez-vous ? Peut être que
le statu-quo actuel est plus enviable selon vous ? Ou mieux, vous avez
une meilleure solution ? Les nazis éliminaient bien les « parasites »...
C’est ce que vous préconisez ?
La prohibition des drogues et de son
trafic ne sont pas seulement une hypocrisie, mais constitue aussi la
bouffée d’oxygène du système financier et bancaire complétement
« accroc » aux narco-dollars.
En 1999, Richard Grasso le président du
NYSE (la bourse de New York) s’est rendu en Colombie pour rencontrer
les responsables du FARC. Son voyage n’avait pas pour but de leur faire
la morale, mais de négocier la gestion de leur narco-dollars. Ne parlons
pas de l’Afghanistan où la culture et le commerce des opiacés a reprit
de plus belle depuis l’invasion des forces de l’OTAN et l’installation
de la marionnette Karzaï, dont la famille contrôle ce juteux trafic avec
la bienveillance de ses parrains de Wall Street...
Quant aux impôts des
contribuables, ils doivent seulement servir à rembourser la dette aux
banksters et financer des guerres coloniales, bien entendu...