Par exemple, 95 % des crédits de recherche dans le domaine de l’énergie sont pour le nucléaire. 5 % pour le reste dont la maîtrise de l’énergie et les énergies renouvelables c’est peu alors que la solution est là.
Et 3 milliards d’euros pour l’EPR et 4,2 milliards d’euros pour l’ITER.
Qui continue la suite ?