Je constate que vous prenez plaisir à emprunter mes mots ! Mais je ne sais de quel usurier vous tenez votre pensée ? Vous devriez lui intenter un procès, si vous trouvez un mécène disposé à vous prêter quelque argent... Et puis, payez donc vos dettes et rendez aux incultes cette haine des enseignants. N’ayez crainte, votre compte ne sera point débité...