Michel Rocard a proféré là une belle ânerie. Je ne m’étonne plus que Mitterrand n’ait jamais vu en lui un possible chef d’Etat. (« Imbécile ! » aurait-il dit dans les Guignols )
La réforme de 1962 instituant le suffrage universel pour l’élection du Président a certes dénaturé le régime constitutionnel mais elle a installé pour longtemps un souffle de légitimité. La réforme nécessaire de nos institutions passe par d’autres solutions que le vote par un collège restreint de grands électeurs !