@Wesson, en parlant de luttes d’influence, il s’agit d’une lutte financière pour contrôler la banque du Vatican.
Miracle papal, le 12 février, le lendemain de l’annonce de sa démission, les D.A.B. se remettaient à cracher des euros, bien aidés par SWIFT .
Second miracle papal, le 15 février, l’allemand Ernst Von Freyberg est nommé président de l’IOR (banque du Vatican) succédant à Ettore Gotti Tedeschi viré en mai 2012.
Plus d’autres magouilles politico-financières décrites par le LIESI (et ici), et où l’on retrouve des Monti et Draghi :
Extrait :
Nous avons vu qu’une enquête était en cours sur les relations de la
Banque du Vatican (IOR) avec la Banca Monte dei Paschi de Sienne (BMPS)
dans le rachat d’Antonvenetta à la Banque Santander, par
l’intermédiaire de la Banque Rothschild. Notez que selon les médias, les
chiffres du rachat varient fortement. Rothschild avait proposé
Antonvenetta à Monte Paschi, Unicredit, UBI Banca, BNP et Crédit
Agricole. BNP avait fait une offre de 7 milliards, plus 1 milliard
conditionné par les résultats 2008 d’Antonvenetta. Le Président de
Sandander, Emilio Bottin, avait mis la pression sur son homologue de
BMPS, en lui disant que s’il voulait vérifier les comptes d’Antonvenetta
avant d’acheter, cela équivalait à laisser BNP acheter. Monte Paschi
avait donc non seulement acheté les yeux fermés, mais en faisant une
surenchère à 9 milliards d’euros la banque valorisée 6,6 Milliards un an
auparavant. Les 2,4 Milliards de différence laissent à penser à la
brigade financière italienne que d’importants pots de vin ont été
distribués.