Bonsoir Céline,
Bon travail d’historienne, bien documenté, bien illustré.
Au-delà de la personne de la reine,
il convient d’interroger l’autorité royale, elle-même minée par une
lente désacralisation du pouvoir. Cet affaiblissement de l’autorité du roi témoigne autant d’un changement de climat politique que d’une mutation culturelle.
Trop de misère, de souffrance...et le germe foudroyant des philosophes.
La subjectivité chapeautait ce présent et condamnait même l’éthique historique.
Marie-Antoinette, créature gracieuse intemporelle focalisait tous les maux.
Cette période de l’histoire est d’une violence folle.