Merci Fergus
pour cette symphonie musicale que vous nous offrez là et qui nous repose les oreilles du bruit sonnant, des monnaies plus que trébuchantes, déclenché par cette vilaine affaire chypriote.
Pauvre Ludwig, j’entends d’ici le cliquetis de ses os bondissant d’indignation dans son cercueil en constatant le funeste destin que l’Europe réserve à son « Ode à la joie ».
Mes relents d’aigreur exposés, je peux maintenant me laisser aller à vous dire tout le bien que je pense de votre article comme d’habitude si enrichissant.
Cordialement,