Il me semble qu’il y a encore pas mal de logements vides à réquisitionner. Ils appartiennent souvent à de grandes entreprises, à des financiers qui préfèrent ne pas louer pour faire monter la valeur de leurs biens, à des institions comme les CCI ou encore l’Eglise. Avant de miter un peu plus les banlieues et de construire sur des terres agricoles, ce serait déjà bien de’utiliser ce qui est vide et construit.
Par ailleurs, essayons d’éviter de payer grassement les chambres d’hôtel des marchands de sommeil s’il reste des logements vides qui reviennent moins cher.
L’auteur a raison. La loi Dalo était une réponse à des situations d’urgence et les délais de l’administration sont trop longs pour répondre à cette exigence.