Internet, mais censuré. Un tas de sites, notamment les sites d’opposition, ne sont pas accessible dans le pays. L’agence pour contrôler internet est dirigé par le fils Loukashenko. Les journalistes Irina Khalip et Natalya Radina, par exemple, ont payé cher pour avoir voulu soutenir l’opposition.
Entre les agressions physiques, les interdiction de voyager, saisie de journaux et d’imprimeries, les autorités pratiquent aussi des raids sur les salles de rédaction de journalistes indépendants. Dés fois qu’ils aient le toupet de publier les photos des ours en peluche.
En attendant, on a trouvé deux lampistes pour porter le chapeau de l’attentat dans le métro de Minsk. Condamnés à mort sans preuves, avec une défense même pas symbolique, ils ont été fusillés. Et si c’était un « inside job », destiné à serrer la vis sécuritaire ?