Un défilé de plus, des calicots et des gueulantes (justifiées certes), de la volonté, des rêves exprimés, farcis quelquefois de manipulateurs casseurs, suivis de comptes d’apothicaire pour savoir le nombre exact des mécontents etc...etc... puis repus et fatigués on rentre chez soi. Pour constater le lendemain que rien n’a changé et ne changera.
Foi d’un vieillard qui pendant des années et des années (68 compris) a suivi professionnellement en tant que journaliste tant et tant de défilés.