« Bref... A mon humble avis on peut commencer à mettre le champagne au frais. »
Bien qu’entièrement d’accord avec vous, je m’abstiendrai de sabler le champagne pour un dictateur sanguinaire. Il faudra négocier aussi l’après-guerre. Et ce sera tout aussi difficile. A quand un retour en Syrie pour mes amis qui ont fui cette dictature il y a trop d’années ?