Deux possibilités :
1 - soit les magistrats sont dans la sphère politique et politisées, comme c’est le cas aujourd’hui, avec les syndicats, qu’ils soient de droite de gauche ou du centre et ils doivent se soumettre au scrutin... donc être élus (ou non) sur leurs étiquettes politiques.
2 - soit l’on considère qu’il s’agit d’une fonction régalienne de l’état, et alors aussi bien peuvent-ils avoir individuellement leurs opinions évidemment, aussi bien ils ne doivent en aucun cas l’officialiser, ni se réunir en organisation politisée, restant des serviteurs de l’état, et dans ce cas alors ils peuvent continuer à n’avoir des comptes à rendre qu’aux institutions républicaines.
Pour des raisons de responsabilité devant la société entière, je suis partisant de la première solution.