vous auriez pu titrer « défense du boutiquier de base »,
votre logique selon laquelle les commerçants sont le peuple,
et les casseurs des choses venues d’ailleurs est limite comique,
à supposer combien on pourrait l’inverser...
pour vous donner une image de la manière dont il est raisonné ici :
je me blesse avec un couteau de cuisine, je cours vers la boîte à pharmacie,
pas assez de sparadrap,
j’appelle ça : « la maladie du manque de sparadrap ! », en accusant bien sûr le couteau -
nice one...
il faut savoir lire des signes :
ce qui se déroule au troca prouve que :
tout rassemblement d’adultes en bonne santé dégénère désormais assez vite en casse de tout symbole accessible du capital,
les fruits sont mûrs...
à l’étape où tout rassemblement spontané devient en lui-même dangereux pour « l’ordre public », c’est que ce dernier n’est plus qu’un désordre.
et bonne chance pour les boutiques.