« Parce qu’un président ne choisi plus une voie. » sinon celle de la négociation avec les cartels financiers qui nous ont pris en otages. Dans ce genre de situation, que faire d’autre ? « There is no alternative ».
« Il a encore moins compris qu’il ne s’agit pas d’une crise mais d’un processus qui a démarré il y a 60 ans et qui est sur la fin ».
Il y a qq années, j’ai entendu un prof d’HEC à l’UDM, dire en plaisantant « Le problème du capitalisme, c’est que régulièrement, il faut tout casser pour repartir à zéro ». A quoi pensait il, 14 et 39, sans doute ?