Résumé condensé de l’article de Dugué :
« La main invisible de l’entropie rend la dictature nécessaire. »
Le gros problème de ces réflexions, c’est qu’elles modélisent l’homme comme un objet inerte, et non pas comme ce qu’il est : un sujet doté d’une vie intérieure, en relation avec ses congénères.
Partant de cet axiome faux, la conception de la société est viciée à la base : elle est vue comme un amas d’objets inertes, évoluant automatiquement sous l’impact de « forces ».
Cependant, la société est une collectivité de sujets vivants, qui évolue certes sous l’impact de forces physiques (du fait de la partie corporelle de ces sujet), mais aussi selon la convolution des appétits personnels (du fait de la vie spirituelle interne à ces sujets).