@ SR.
En fait, il n’y a pas de paradoxe : il fallait écarter Sarkozy car il était évident que sa politique serait désastreuse ; quant à celle de Hollande, on était encore à ce moment là dans le domaine des spéculations. Certitude d’un côté, possibilité de l’autre. La consigne pro-Hollande au 2e tour s’imposait.
Bonne fin d’après-midi.