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En réponse à :


sitelle sitelle 31 mai 2013 10:31

Je sais bien que certains veulent légiférer, mais justement l’hésitation vient qu’on ne veut pas ouvrir la porte aux éventuelles dérives. La fin de vie, je sais pour avoir été personne de confiance dans ce cas, est un événement unique, et doit se régler en privé entre l’équipe soignante et le malade lui-même (s’il prend ses dispositions avant de ne plus pouvoir le faire) et/ou la personne de confiance qui est là pour veiller à l’application de ces dispositions au cas où le malade n’est plus en état de le faire. Dans notre cas, il s’agissait d’une amie, elle a demandé elle-même la première piqure d’hypnovel après avoir décidé avec l’équipe des soins palliatifs de la progression qu’elle voulait. Je n’ai rien eu à faire, qu’à lui tenir la main. et j’ai trouvé le système convaincant. Mais si les proches ne sont pas d’accord entre eux, l’importance de désigner une personne de confiance prend toute sa valeur.


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