Excusez-moi, mais des amis slovènes de ma famille racontaient les horreurs qu’ils avaient subi lors de la dernière guerre, c’était entre « nordistes » ...
L’après-guerre n’était pas mal non plus, puisqu’ils se sont enfuis à pieds, en marchant dans les montagnes, traversant toutes les Alpes italiennes, sans jamais descendre dans les villages, pour arriver chez nous, en France, épuisés mais soulagés.