• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


emmanuel muller emmanuel muller 9 juin 2013 09:29

Lien vers mon docteur indien sur arte

Votre témoignage m’intéresse beaucoup, j’ai relevé surtout deux choses :

L’attitude comme arrêté. Je crois que les tout petit sont aux commande de leurs « soignant » dans une certaine mesure il les rendent parents, soignant, et que passé un certain stade, le lien social gouzi-gouzi laisse place au laisser faire justement. Il n’est plus question de communiquer, mais de survivre, et pour ce faire, comme j’en parle dans ma réponse au dessus, il ne faut pas perturber, pas poser de la souffrance qui les perturberait. Et si seul la souffrance pourrait être exprimé, alors ne rien exprimer c’est une assez bonne solution. Pas réfléchis, mais au contraire profondément instinctive, animal même. Ensuite l’état mélancolique (au sens médical, fort, c’est autre chose je pense, que l’état arrêté pendant les soins).

L’hypersensibilité. Ca prouve que ça bossait dur derrière le masque figé. Trouver un sens a tout ça, organiser sur des repères visuel, auditif, tout ce qu’on peut trouver. Je suis hyper senssible a la lumière en particulier, au bruis aussi, au touché, mais c’est beaucoup indexé sur le stress dans mon cas. Les déformations constaté logiquement des bruis la nuit si j’avais remué un peut ce sujet avant font partie des indices qui m’autorisent a parler aujourd’hui de traumatisme.

Le décalage avec les autres par contre je relève pas, j’en ai déjà causé au dessus. On est des alter trop évident, des autres non compatible avec la fusion modéré qui régule dans les rapports sociaux, la mise a l’écart est encore la réaction la plus soft de ceux qui ne supporte pas cette preuve ambulante d’altérité que nous somme.

Merci pour ce témoignage.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès