Je ne vois pas de « nous » mais des « on » et cela me convient.
« Penser oubli plutôt qu’accumulation » une règle du futur.
Internet a ouvert en même temps un savoir et une méconnaissance qui est portée par la propagande.
Les limites n’existent pas vraiment, mais le problème devient la détection du vrai dans un fatras d’informations.
La question : Recouper l’info, qui en a le temps ?