L’auteur n’est pas antisémite, certes ; mais judéophobe et islamophobe certainement : un bon laïcard français ne saurait ne pas l’être aujourd’hui, sauf à se mentir à lui-même ; et c’est là que laïcards et nationalistes peuvent parfois se rejoindre si l’on veut encore sauver l’essentiel. Car le mot d’ordre de l’ennemi est toujours Divide et Impera.
Le laïcard de gauche se pince encore le nez - ses Maîtres lui ont tellement fait la leçon, de Marx à Krivine en passant par Trotski ! - mais devant les avancées gigantesques du cosmopolitisme financier en haut et la démographie afro-maghrébine galopante en bas, qui profitent tous deux de la destruction des frontières (et donc des Nations, du Droit des États et des Peuples), il faudra se tendre la main. Ou mourir chacun de son côté...