Lorsqu’un Etat a l’imprudence d’émettre des titres qui dépendent d’une juridiction étrangère, un défaut de paiement peut devenir très problématique et peut prendre la forme d’un blocus commercial...
Pour la France, ce ne sera pas le cas puisque la dette de droit français représente 85% de la dette de marché.
Effacer des dettes par un jeu d’écriture implique la « socialisation » du système bancaire européen, me semble-t-il.