Bonjour, Taverne.
Tout à fait d’accord sur l’expression de cette différence d’approche entre la chanson de naguère et celle, formatée et « marketée », d’aujourd’hui ; entre les chanteurs talentueux d’autrefois à qui l’on donnait leur chance, et les chanteurs fabriqués d’aujourd’hui qui prennent la lumière en laissant dans l’ombre et l’anonymat des artistes de vrai talent qu n’auront jamais leur chance.
Il en va de même, hélas, pour la chanson que pour le fromage : on abandonne l’artisanal authentique pour s’en remettre à l’industriel sans saveur !
Merci pour cet excellent article.