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eau-du-robinet eau-du-robinet 22 août 2013 13:06

L’agriculture (intensive) est contrôle par les multinationales et le marché financier.

Puis il y la politique du dumping et de la spéculation.

La spéculation en bourse sur les denrées alimentaires est ce qui été l’hérésie pour l’église !

L’agriculture à commence à marcher sur la tête depuis le plan Marshall (après la deuxième guerre mondiale) ... L’agriculture intensive détruits les sols, pollue l’environnement , détruit toute la vie organique des sols, et à laisse beaucoup parmi les petits agriculteurs sur les carreaux (le nombre des suicides chez des agriculteurs en Inde est impressionnante ; 1.000 suicides / mensuels).

Le plan Marshall (après son élaboration, il fut officiellement appelé «  Programme de rétablissement européen » en anglais European Recovery Program : ERP) était un plan américain pour aider la reconstruction de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale, accompagné par l’agriculture industrielle (emploient massivement des produits chimiques), Les Américains ont ainsi contribué à la coopération européenne, prélude à la construction européenne ... source

Motivations (du plan Marchal)
....
Il s’agissait aussi de trouver des débouchés pour les produits américains. Les États-Unis ont connu pendant la guerre une forte croissance liée à l’industrie de guerre et la question à l’étude depuis 1941 à Washington est de savoir comment maintenir le plein emploi après la guerre. La solution mise en place sera, via le plan Marshall de trouver des débouchés à l’étranger financés par des prêts remboursables en dollars. Ces prêts sont émis via la banque mondiale et contrôlés via le FMI (accords de Bretton Woods). La particularité de ces deux institutions est que les USA sont seuls à y avoir un droit de veto, ce qui leur permet de dicter leurs conditions, en particulier, d’obliger les pays européens ruinés à accepter que des conditions soient liées aux prêts du FMI .... source

L’une des conditions de l’époque était que les dettes contractées par le pays recevant cette aide ne soient plus émises dans la monnaie du pays mais en or ou son équivalent en dollars dont le prix était de 34 $ l’once d’or. Ces prêts en dollars sont la garantie pour les États-Unis de ne pas avoir de perte de valeur si les pays emprunteurs dévaluent ; d’autre part les dollars dépensés pour acheter des produits autres qu’américains finiront toujours par revenir aux États-Unis pour acheter des biens américains. source


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