Bonjour, In Bruges.
Mis à part les médecins qui exercent dans un cadre très particulier, je ne crois pas que la pile des revues et magazines à disposition soit liée à la typologie de leur clientèle. En l’occurrence, les observations notées dans l’article ont été faites (dans le Finistère et les Côtes d’Armor) uniquement dans des cabinets conventionnés de clientèle ordinaire, largement dominée par les patients appartenant aux classes populaires et moyennes.
J’ai bien aimé « La Vie du rail » en addictologie.