le problème est : comment sortir la tête haute de ce guépier.
Trop de précipitation de la part de nos gouvernants
beaucoup à perdre sur tous les plans
pas certains que la chute d’un dictateur , même sanguinaire, soit bénéfique et que la suite soit « angélique ».
Tout seul, sans les résultats des experts à peine revenus de Syrie, sans décision de l’ONU, .... !
Mais que va t’on faire dans cette galère ? pour punir ? Mais quid des nombreux autres pays dont les gouvernants sont aussi peu recommandables et où l’on n’interviendra pas.
Allons, espérons que la France saura raison garder dans cette affaire.