Pas besoin de faire des analyses poussées pour se rendre compte que la théorie de l’isolation reproductive est à jeter aux orties.
Les forêts tropicales font parties des endroits où l’on trouve le plus de biodiversité « surfacique », alors même que les conditions climatiques et géologiques s’appliquant à ces surfaces sont extrêmement homogènes. A l’évidence les barrières organiques résultant de l’enchevêtrement d’êtres vivants ont un impact évolutif bien plus important que les barrières géologiques et climatiques.