Merci Oscar pour ce texte, même si nous avons l’impression d’un désenchantement de votre part.
Le gouvernement informel qui entoure le pape à Santa Marta procède méthodiquement à la « réforme de la Curie » tout aussi informelle en apparence.
Réforme de la Curie qui, outre la gourvernance des affaires courantes, a besoin à la tête de la diplomatie vaticane d’une personne ayant un rôle bien plus important que celui attribué au cardinal Bertone. On y verrait mal un Ouellette transiger avec les serpents de la politique américaine. Et pour la finance mondiale, le contrôle a délà été dévoyé à Ernst von Freyberg, membre de l’Ordre de Malte, trois jours avant la démission (forcée ?) de Benoit XVI.
Le jésuite avance avec fermeté et contrôle déjà assez bien ce gouvernement qui n’est pas une démocratie mais une structure fondée sur l’obéissance ignatienne.
Parolin tel un Talleyrand sous la botte d’un « petit caporal ».
Vivront-t-ils assez longtemps pour déçevoir ?
DG