Le point intéressant que nos média couchés se gardent bien de souligner est le % en hausse des eurosceptiques dans tous les partis, y compris celui de Merkel.
Une tendance appuyée par des économistes de terrain (pas des intellos vaporeux à la française) et des financiers réalistes (pas des énarques irresponsables) qui après s’être demandés à haute voix depuis plusieurs années si l’euro n’était pas une grave erreur, osent à présent proposer de scenarii pour sortir de ce piège.