Devant l’Armée Rouge, la population s’enfuyait. Les viols étaient systématiques,du bébé aux grands-mères, j’ai recuilli le témoignage d’un Français détenu dans un camp de travail. Il était amoureux d’une Polonaise de seize ans, (elle était du le village voisin) il n’était guère plus vieux. Ils faisaient des projets d’avenir en se tenant la main. Elle se réservait pour son mariage et est morte des viols subis. Malgré le temps passé, la douleur de cet homme était toujours aussi vive.
Par ailleurs, une infirmière serbe qui avait exercé en Hongrie m"a raconté le supplice des jeunes filles qui tombaient entre les mains des troupes d’occupation et dans quel état inimaginable on les retrouvait. Et cela c’était bien après la guerre.
Alors, je sais mes cocos, c’est très contrariant. MAIS C EST VRAI