MEL, hormis son métier d’épicier-constructeur ne reconnait que son état de mouton noir protégeant ses clients, pour preuve les fournisseurs de son père sont encore les siens.
Comment alors ont-ils pu vivre ?
Je m’inquieterai plutot pour ses coopérateurs contraints de subir les livraisons de la centrale mais bon ils étaient volontaires contrairement à leurs salariés transformés en actionnaires.