Ce qu’il faudrait traquer, c’est le licenciment avec délocalisation quand les bénéfices sont là.
C’est aujourd’hui un crime contre l’humanité.
Les 50 millions d’américains pauvres sont là pour nous dire le désastre de leurs entreprises émigrées au diable vauvert.
Ce crime devrait être puni de prison et d’amendes colossales, payées par les actionnaires, avec possibilité de confiscation de l’outil de travail au bénéfice des employés.
La mesure peut paraître extravagante ?
Mais nous sommes en guerre, et une loi martiale spécifique à l’emploi doit être instaurée.
Les mesures de couillemolles qui sont prises aujourd’hui sont dérisoires.