Deux ou trois choses à dire.
D’abord, Giscard er Pompidou étaient deux crapules, qui nous ont imposé cette dette éternelle.
Ensuite, on n’est pas obligés de rembourser ces dettes : elles s’apparentent à une dette odieuse, ne comprenant principalement que des intérêts usuraires et qu’on pourrait déclarer illégaux.
L’Argentine a très bien compris le truc, et les créanciers se sont couchés, sauf une poignée qui fait de la procédure en pure perte (les "vautours).
Le litige remonte à 2001. Au bord de la faillite, l’Argentine entame alors de douloureuses négociations avec ses créanciers privés afin de restructurer sa dette. En 2005 et 2010, 93 % d’entre eux acceptent une décote de près de 70 % sur leurs titres. Enfin, jusqu’en 73, l’inflation et la planche à billet a toujours bénéficié aux petits, tandis que la monnaie forte ne profite qu’aux riches. Ceux-ci parviennent à faire croire que ce qu’ils font est légal, et que ne pas rembourser est malhonnête. Ils oublient juste de dire que les sommes prêtées ne correspondent à aucun argent réel, mais juste de la créarion informatique, et que depuis des décades ils s’engraissent sur ce vol caractérisé par les intérêts qu’ils extorquent.
Si les banquiers prêteurs en Argentine ont accepté une remise de 70%, pourquoi ne l’exigeons nous pas ?