Volt :
Votre mise au point, certes un peu sèche, paraît entièrement justifiée.
Sans entrer dans les détails, le Rimbaud « le poète vagabond » est un peu une légende. Dans ses pérégrinations à travers l’Europe, l’Insulinde, la Corne de l’Afrique, il a surtout cherché à s’enrichir en jouant au mercenaire dans l’armée batave, au marchand d’armes (peut-être agent secret au profit de la France). Effectivement, de Verlaine, il n’en plus rien à cirer.
Cette réserve faite, j’ai lu avec plaisir le texte de Salambo. Sa description de l’évolution dans le temps de l’espace de la ville de Harar est praticulièrement bienvenue.
Bonne fin de soirée.