La réponse est simple :
soit on prohibe, en estimant que ce n’est pas moral de faire commerce de son corps pour du sexe, un peu comme ce fut fait pour l’esclavage.
Mais si on prohibe, on pénalise toute la chaîne, client prostitué(e), proxénète.
Soit on continue à « tolérer » comme actuellement, en réprimant le proxénétisme.
Si on pénalise le client sans pénaliser la prostituée, on inscrit encore une fois dans la loi que l’homme est un prédateur pour la femme. Après le mariage homosexuel, le gouvernement poursuit sa fuite en avant.