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CedricA CedricA 16 novembre 2006 12:35

La chose qui me semble à la base du problème est l’irréversibilité. Les cultures OGM en plein air peuvent « contaminer » d’autres espaces et d’autre espèces. Une fois que c’est fait, il n’y a aucun moyen d’effacer les conséquences.

D’où l’invocation du principe de précaution. Par contre des OGM en espace clot n’introduisent pas ce problème d’irréversibilité.

Après les méthodes des activistes pour que soit appliqué le principe de précaution ne sont pas forcément les meilleures, mais en ont-t-ils d’autres ? La puissance des groupes industriels est telement disproportionnée qu’un peu de démagogie des anti OGM ne me semble pas si condanable.

Car ne nous leurons pas, jamais les groupes industriels n’ont oeuvré pour l’interêt général, ce n’est pas leur vocation. Est-ce de l’immobilisme de s’opposer au type d’évolution qu’ils proposent ? Je ne suis pas d’accord avec l’auteur. Il y a une autre vision de l’évolution de l’agriculture. Elle est tout aussi louable, sauf qu’elle ne dispose pas des même moyen pour la mettre en oeuvre.

Donnez les moyens de com et de loby de Danone à Jean Pierre Koff et vous verrez une autre approche du développement des filières agronomes, pas forcément signe d’un recul.


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