« un clavier, indispensable exutoire sur lequel il pourra exprimer son génie, ensuite un écran sur lequel il pourra s’admirer. »
Ma parole, me suis-je pensé, mais c’est tout moi, ça ! Gruni m’espionne !
Sentiment qui ne fait que se renforcer quand je lis ensuite :
« Mais internet ce n’est pas que cela, c’est aussi pour beaucoup un moyen lorsqu’on n’a pas les moyens, de voyager dans des pays qu’on ne visitera jamais, de rencontrer des amis qu’on ne verra jamais que virtuellement. »
Je l’avoue, je suis une intoxiquée d’Internet, une accro de Facebook.
Alors, quand, horreur, rage et désespoir, le disque dur de MacMachin, mon ordi, a un coup de mou qui le met out le matin du 1er janvier, je vous prie de croire, Chère amie, qu’il eut été imprudent de venir me souhaiter une bonne année.
Le déficient ayant été remplacé , j’ai le grand plaisir de vous souhaiter une année conforme à tous vos souhaits.
Cordialement,