De toute manière ce genre de débats n’apporte pas grand chose.
En effet ni Goulard, ni Berruyer ne prennent vraiment la mesure de l’impasse de la situation.
Lire à ce sujet les quatre possibilités de sortie
de crise évoquées par Jean-Maxence Granier Sémiotique
de la crise (2009) : 1. reconstruire le système à l’identique (voie
actuellement choisit, sans issue)
2. modifier le système sans remettre en cause le rôle du capital
3. modifier en profondeur le système en remettant en cause le rôle du capital,
4. impossibilité de modifier le système sans passer par la case effondrement puis
reconstruction sur des bases entièrement nouvelles.
Ors les invités de BFM sont toujours soit dans le cas 1 (Goulard) soit dans le cas 2 (Berruyer) alors que la situation réelle est au moins le cas 3 et plus vraisembablement le cas 4.