Je crois en parler un peu dans l’article.
Rien de faramineux ; je fais seulement à ma petite mesure, mon petit oeuvre de petit professeur de philo, en vulgarisant une pensée (tout en essayant d’en préserver la beauté et le sens, tant que je peux) afin de la rendre accessible à un public non-initié, et de faire ainsi passer un peu de Platon tout en me faisant plaisir avec Zelda.
Sur Platon même, si vous avez des réserves : exposez-les ! Vous êtes la bienvenue. Vous auriez même pu commencer par cela ; c’eût été tout approprié, plutôt que de me reprocher un manque de sérieux sans rien daigner m’en dire. Mais d’avance, si comme (en me précipitant un peu, peut-être) je le présage à votre avatar, vous me reprochez d’avoir une lecture de Platon trop charnelle et trop favorable à l’epithumia, sachez que j’aurai quelques billes pour vous reprocher à mon tour une lecture austère de Platon passée au filtre déformant de l’exégèse médiévale augustinienne.