Beau réquisitoire partant de constats qui ne datent pas d’hier.
Même si je vous rejoins en grande partie, vous faites la part belle à cet EXCCCCCCELLLLLLENT Pascal Clément !
Ce ne sont pas des mesures immédiates voire brutales qui feront cesser une situation où les torts sont partagés.
Comment la « justice » peut-elle OSER s’occuper rapidement de cette « affaire » alors que les bavures, dont Outreau était la plus symptomatique, n’ont toujours pas, et ne sont pas prêtes d’être réglées ?
Reste toujours cette « tolérance zéro » qui va en s’évanouissant quand on s’approche du sommet de l’État.
L’emploi du terme « cités difficiles », « quartiers chauds » sont de très mauvaises expressions qui dépersonnalisent, déshumanisent des lieux de survie qui n’ont pas besoin de cela.
Pour quelques dizaines de bagarreurs, combien subissent sans autre choix que de raser les murs. Et dont ON ne parle pas ! Vraies victimes de mauvaises politiques.
« Et la juste raison fuit toute extrémité »